Production
À travers ces prolongements de cartes, ces photographies témoignent d’un contexte historique particulier qui permet de percevoir les représentations d’une époque.
Aujourd’hui numérisées dans une proportion de plus en plus importante, de nouvelles perspectives s’ouvrent quant à l’exploitation du fond de manière dématérialisée. L’intégration de ces données dans un SIG soulève de nombreuses questions et pose le problème des nouvelles ressources à allouer dans un organisme dont la géomatique n’est pas le cœur de métiers et dont le fonctionnement est étroitement encadré sur le plan législatif.
Face à une problématique aussi spécifique, l’exemple des autres pays occidentaux constitue un début de réponse face aux défis de conservation et de valorisation des orthophotographies historiques."