Ce mémoire s'intéresse à la nomenclature de la donnée géographique comme fondement essentiel de la structuration d’une base de données au sein d’un bureau d’étude spécialisé en urbanisme et environnement, ici Citadia-SCET. Dans un contexte de complexification et de massification des données spatiales, il s’agit d’analyser comment une nomenclature rigoureuse, stable et interopérable permet non seulement de clarifier l’organisation des données, mais aussi d’optimiser leur utilisation et partage entre les usagers.
S'appuyant sur un état de l’art théorique, des entretiens avec des experts et une étude de cas interne, ce mémoire montre que la nomenclature est bien plus qu’un simple nommage technique. Elle constitue une colonne vertébrale organisationnelle et un vecteur de gouvernance de la donnée. Le travail aboutit à une proposition concrète de modèle de nomenclature, adaptée et catégorisée à différentes échelles géographiques (nationale, régionale, départementale). Celle-ci est intégrée dans une base de données centralisée et construite selon une méthode collaborative utilisant les Modèles Conceptuels de Données (MCD). Mémoire confidentiel